"Dans la confusion de notre époque quand une centaine de voix contradictoires prétend parler au nom de l'Orthodoxie, il est essentiel de savoir à qui l'on peut faire confiance. Il ne suffit pas de prétendre parler au nom de l'Orthodoxie patristique, il faut être dans la pure tradition des saints Pères ... "
Père Seraphim (Rose) de bienheureuse mémoire

dimanche 18 mars 2018

EDITIONS DU DESERT






José Muñoz, devenu moine Ambroise au Mont-Athos, humble gardien de l’Icône de la Portaïtissa, est mort martyrisé en 1997. L’auteur de ce livre, témoin direct et ami de José, eut la grâce de le rencontrer souvent et de l’accueillir chez lui avec l’Icône. À notre demande, il accepta avec humilité d’écrire l’histoire de sa vie. Mais ces pages bouleversantes, exigeantes de vérité, nous entraînent bien au-delà d’une biographie. Telle une icône, ce livre ouvre la porte de l’Invisible illuminant le chemin du Royaume, celui qu’a emprunté le pèlerin José, effacé derrière la Toute-Pure. Consumé d’amour pour Dieu, il livra jusqu’au bout le bon combat.


« Nous allons parler d’un martyr de notre temps, écrit Claude-Lopez-Ginisty dans son Avant-propos. Il vivait en esprit avec les martyrs de tous les temps et de tous les lieux (…). Il fut sur notre terre des vivants un homme simple marchant pieusement vers le Ciel où il demeure à présent. Il obtint du Christ par sa prière fervente le don précieux d’une icône miraculeuse qu’il accompagna dans le monde et donna sa vie pour que ses frères l’aient en abondance de guérisons et de grâces. Il devint moine secrètement au Mont-Athos. Il fut torturé à mort à Athènes où il reçut la couronne du martyre. Du Mont-Athos en Grèce, à Optino en Russie, où on le vénère à présent, son itinéraire spirituel est constellée de bénédictions insignes. »





« (…) En rassemblant tous les témoignages de ceux qui l’ont connu, on s’aperçoit qu’il n’est pas réellement possible d’écrire autre chose que l’histoire de l’Icône et de frère Joseph. Cela est voulu. C’est que sa vie réelle fut celle de gardien fidèle de l’Icône et que son autre vie, il y renonça totalement en choisissant de devenir moine. Il disparut quand disparut l’Icône, c’était là sa seule vie véritable, elle était cheminement lent, sûr et douloureux vers le Ciel. Y ayant atteint enfin, il nous laisse le soin de méditer sur ce que fut son errance mystique sur la terre des vivants. »
José Muñoz :


ISBN 978-2-914857-30-7 (Kindle/e-pub/PDF)

ISBN 978-2-914857-31-4 (version papier – 180 pages)
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Devant ces femmes à la sainteté ignorée du monde, saint Séraphim de Sarov s’inclinait jusqu’à terre. Les folles-en-Christ furent, de son vivant comme après son départ pour le Ciel, les piliers et le rempart spirituel de Divéyevo, veillant et priant sans cesse pour éloigner l’Ennemi des âmes, protéger les orphelines de Séraphim et faire triompher la vérité.


Ce livre aux anecdotes savoureuses raconte des vies faites d’extravagances, de comportements énigmatiques et en apparence scandaleux, mais surtout des vies d’une humilité et d’une ascèse exceptionnelles. Aujourd’hui comme alors, la bonté infinie des clairvoyantes lumineuses et étranges de Divéyevo touche le coeur. Elles qui endurèrent sans se plaindre moqueries, jugements et souffrances sans nombre, furent et seront toujours bénédiction et joie pour notre terre.


Extrait des Chroniques du Monastère de Séraphimo-Divéyevo, de Léonide Tchitchagov, cet ouvrage hagiographique est complété par un chapitre inédit en français, signé du hiéromoine Damascène Orlovsky. Il est consacré à la bienheureuse Maria Ivanovna qui succéda à Pacha de Sarov, et vécut les temps mauvais prophétisés par saint Séraphim avec la profanation du monastère, sa fermeture et la dispersion des moniales.

Pélagie, Pacha, Maria et les autres :
ISBN 978-2-914857-34-5 (Kindle/e-pub/PDF)
ISBN 978-2-914857-33-8 (version papier – 144 pages)




Le 19 juillet 1903, saint Séraphim de Sarov était glorifié dans l’Église orthodoxe russe. Un siècle plus tard le lumineux Starets dont le rayonnement s’est étendu au monde entier, nous révèle les secrets de la prière qui conduit au Royaume des Cieux.


Parlant directement au cœur des fidèles, il nous transmet aujourd’hui un héritage béni, comme il le fit jadis à son disciple Nicolas Motovilov, dans la Lumière de l’Esprit Saint. «Ainsi, ami de Dieu, tout ce que tu demanderas au Seigneur Dieu, pourvu que cela soit pour la gloire de Dieu ou le bien de ton prochain, tu le recevras. […]» Comme le souligne l’auteur, «Saint Séraphim avait une expérience particulière de la prière et il avait indubitablement atteint la perfection dans ce domaine spirituel.


Sa prière fit, à plusieurs reprises, se rejoindre le Ciel et la Terre et les hôtes célestes le gratifièrent de nombreuses apparitions. Sa familiarité avec la Mère de Dieu et les saints était telle qu’il semblait frapper à l’huis du paradis et y être introduit dès qu’il se mettait en prière. On le vit resplendissant de lumière. On l’aperçut élevé au-dessus du sol, comme si le Ciel plutôt que notre Terre exerçait son irrésistible attraction sur lui»…








Avec en fin d’ouvrage un Acathiste inédit en l’honneur de l’humble Starets.
La Prière selon Saint Séraphim de Sarov :
ISBN  978-2-914857-20-8 (Kindle/e-pub/PDF)
ISBN  978-2-914857-07-1 (version papier – 56 pages)



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Chroniques du Monastère de Séraphimo-Divéyevo – Tome I




La porte des Chroniques s’ouvre avec la préface du Père Boris Bobrinskoy: «Voici qu’une nouvelle fois, saint Séraphim, l’humble Séraphim s’approche de nous pour nous faire partager la Lumière indicible dont il fut le témoin et le porteur.» Cette Lumière est venue éclairer le cœur de la Russie orthodoxe du XVIIIe siècle. La Mère de Dieu apparaît alors à Mère Alexandra et la charge de fonder à Divéyevo la communauté de la Mère-de-Dieu-de-Kazan.


L’aventure exceptionnelle du monastère de Séraphimo-Divéyevo se déroule ensuite chronologiquement sur près de deux siècles. La genèse du monastère de Sarov introduit ce premier tome, centré sur la vie et la personne de saint Séraphim, indissociable de Divéyevo et de ses moniales. Favorisé d’apparitions célestes du Christ et de la Mère de Dieu qui le guérit miraculeusement, c’est sur Son ordre qu’il fonde à Divéyevo la communauté du Moulin dont il s’occupera jusqu’à sa mort.


Les nombreux témoignages des familiers du Starets, la simplicité de ses «orphelines», la clairvoyance et les étrangetés des folles-en-Christ, l’humilité de Mantourov ou la fidélité de Motovilov donnent à ce texte foisonnant toute sa densité et son authenticité.


Mais le fruit de ce récit pour notre temps est d’abord spirituel. Incarné par la relation privilégiée entre la Mère de Dieu «Joie-de-toutes-les-Joies» et l’humble Starets, il vient notamment rappeler, comme le souligne le Père Boris, «que le mystère de l’Église est un mystère de communication véritable et donc de profonde communion entre la vie de Dieu, la vie de Ses saints, et notre expérience quotidienne de prière et de sanctification.»


Riche de témoignages de première main, cet ouvrage de référence sur saint Séraphim de Sarov et Divéyevo, encore inédit en français, est proposé au lecteur dans sa version intégrale en deux volumes, dans un langage simple au plus près du texte russe.


(Traduit du russe sous la direction du monastère N.-D.-de-Toute-Protection de Bussy-en-Othe)
Presse


« Il faut saluer comme un événement important cette publication en français et dans leur version intégrale des Chroniques du Monastère de Séraphimo-Divéyevo, ouvrage de référence sur la vie, la personnalité et l’enseignement de saint Séraphim de Sarov et sur l’histoire riche en événements et en figures spirituelles du couvent de Divéyevo qu’il a fondé et dirigé de loin. (…) La première édition des Chroniques en 1896 joua un rôle décisif dans la canonisation de saint Séraphim en 1903. Peu avant sa mort, soit 23 ans avant la naissance de l’auteur et 70 ans avant cette canonisation, saint Séraphim avait prophétiquement évoqué devant une moniale “cet archimandrite Séraphim qui sera l’ordonnateur de ma canonisation” ; une apparition du saint à son biographe fut une marque donnée par lui de son approbation du contenu de l’ouvrage. (…) Travail colossal réalisé avec une grande rigueur historique dans la recherche, la vérification et le traitement des sources, les Chroniques sont avant tout une œuvre spirituelle qui dessine le portrait le plus complet de saint Séraphim, relate directement ou indirectement ses enseignements – elles sont la source de tous les livres qui ont été écrits sur le saint –, mais présente aussi les riches figures de ses disciples (comme Mantourov ou Motovilov) et des saintes higoumènes, moniales et folles-en-Christ qui ont illustré ce monastère.»Jean-Claude Larchet


«C’est l’œuvre par excellence sur la vie de saint Séraphim. Un témoignage de première main sur le saint (…) que Mgr Tchitchagov a écrit en se concentrant sur des faits réels. (…) Un grand travail. Ce genre d’ouvrage est vraiment une nécessité pour tous nos contemporains.» Bernard Le Caro
Chroniques du Monastère de Séraphimo-Divéyevo – Tome I :
Date de publication (version imprimée) : février 2016
ISBN  978-2-914857-16-1 (Kindle/e-pub/PDF)
ISBN  978-2-914857-14-7 (version papier – 572 pages)

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